top of page

Le CantalOurs

Plus habitué à l'aïoli et au pastis qu'à la truffade et la gentiane, rien ne destinait ce Marseillais exilé à Paris, à devenir un fada du Stade Aurillacois.

Quand l'amour et le tribunal de commerce l'emmènent à vivre dans le Cantal, il n'a encore jamais vu un match de rugby en vrai. Mais lorsqu'un soir d'hiver 2013, pour conjurer son considérable ennui, il se laisse attirer par un ami dans la tribune en béton de Jean Alric, il assiste à la prodigieuse victoire in extremis contre Oyonnax. A cet instant précis, son sang devînt irréversiblement rouge et bleu.

Le virus était inoculé.

Depuis, il n'a de cesse d'essayer de comprendre ce jeu pittoresque et mystérieux, pratiqué par des gens cocasses et nébuleux.

Plus royaliste que le roi, la littérature rugbystique n'a plus aucun secret pour lui. Il se vante même d'avoir lu tout Daniel Herrero traduit en français.

Son but ultime étant de prendre les rênes du Club, il s'est mis religieusement à jouer au loto et promet, à qui veut l'entendre, un avenir radieux pavé de grandes victoires et de troisième mi-temps pantagruéliques et fraternelles.

En attendant, il reste néanmoins ouvert à toutes propositions de Community Manager, responsable communication, merchandiseur, mentaliste ou encore serveur à la buvette.

 

 

Nicky de Saint Axe

Grande spécialiste de la langue de Molière et de whisky irlandais, la belle Nicky est la caution littéraire du site ; aucune faute d'orthographe, de grammaire ou de goût ne résiste à sa perspicacité. Selon la légende, elle aurait même terminé 69ème au championnat de France de mots fléchés niveau 4, en 2005 !

Infiniment dévouée à son patron, qu'elle aime en secret, elle rêve de pouvoir l'accompagner au Stade, un soir de victoire.

 

Michel Jordanne

Responsable de la rubrique "Les échos du marché", ce jeune Aurillacois ne connaît rien au rugby mais a quand même voulu donner un coup de main en échange de quelques apéritifs anisés. Bigrement travailleur, quand sa connexion internet le lui permet, il nous envoie environ cinq lignes par semaine. Inséminateur de bovins dans le civil, Michel n'a pas son pareil pour vous bourrer le mou. Enculeur de mouche émérite, il se rêve en futur maire d'Aurillac ou de Vezels-Roussy.

 

bottom of page